La justice version Québécoise...

samedi 7 février 2009

«Affaires Bourque/Ellis»: L'implication du premier ministre Charest dans l'incurie ? ?

Par inférence tirée des 10 inférences issues de l'«Affaire Bourque», le Premier ministre Charest ne peut autrement qu'avoir commandé la décision du juge en chef J.J. Michel Robert d'avoir fraudé le processus judiciaire afin de protéger l'immunité de la juge Sophie Bourque.En ce sens cliquez sur: Le juge en chef Michel Robert est un MENTEUR ! pour en connaître davantage sur ses méthodes de «saine administration de la justice»

Puisque notre juge en chef du Québec ne pourrait agir en dictateur comme il le fait présentement et penser pouvoir conserver son «job» sans avoir l'assentiment de celui qui, a, en contrepartie, le pouvoir de le faire destituer s'il constate que cela soit nécessaire pour la sauvegarde de l'image du système judiciaire et de son Ministère de la justice. Or, cette personne c'est bien le premier ministre Charest lui-même. Considérant que ce dernier ne fait rien, et commande même plutôt à sa toute nouvelle recrue, la ministre Weil de ne rien faire, le Public doit donc en inférer que les ordres, concernant certains dossiers litigieux, comme le mien, et impliquant d'ailleurs un autre «ami proche» de M. Charest, soit le président de l'Ordre des ingénieurs du Québec, M. Zaki Ghavitian, proviennent bien du cabinet du Premier ministre Charest. Sans doute ne fait-il rien pour de ne pas se faire couper les somptueuses entrées d'argent dans la caisse du parti libéral du Québec par des entités corporatives telles l'O.I.Q, le Collège des médecins et le Barreau du Québec.

Ce faisant, telle décision irresponsable de la part d'un premier ministre aliène cependant la Cour d'appel. Laquelle ne peut plus se prononcer sur l'«Affaire Ellis» tant et aussi longtemps qu'il y aura un doute sur l'intégrité de la juge Bourque et du juge en chef J.J. Michel Robert dans l'«Affaire Bourque» et par extension un doute sur l'intégrité du premier ministre lui-même; considérant que le pouvoir judiciaire doit en théorie être complètement indépendant du pouvoir exécutif.

En mon sens, le président Sarkozy devrait arrêter pour l'instant d'encenser le premier ministre du Québec. Lequel ne mérite très certainement pas ces louanges et ces décorations d'honneur. Et M. Charest devrait penser revenir le plus vite possible au Québec pour régler des problèmes beaucoup plus importants. Puisque ces derniers le concernent directement et, en contrepartie, influence négativement la qualité de vie de certains de ses concitoyens les plus honnêtes.

Je demande donc au Premier ministre d'agir dans mon dossier s'il a encore une âme et une conscience afin de me permettre finalement d'avoir une vie normale après avoir purgé 31 mois de détention arbitraire dont 20 mois à l'Institut psychiatrique Philippe Pinel, alors que je n'ai harcelé, menacé ou même touché à qui que ce soit. La preuve est que son «ami» Ghavitian a «détruit la preuve» que la Couronne détenait pour, semble-t-il, justifier mon maintien sous garde depuis tout ce temps. Monsieur Charest, selon toute évidence, commande maintenant le juge Robert Sansfaçon de «protéger» son «ami» Ghavitian qui s'est ainsi rendu coupable par lui-même de méfait public en acceptant que soit véhiculée cette information à l'effet que cette preuve avait été détruite.

Pas très fort, croyez-moi, et je ne peux autrement qu'être très amer d'une telle situation que je pensais possible seulement dans les pays terroristes du tiers-monde.

En ce sens voir l'article: «Tirer ses inférences: Un devoir que la juge Bourque a rappelé au jury...»

sur le site: http://prevarication101.blogspot.com/2009/02/tirer-ses-inferences-un-devoir-madame.html


21 commentaires:

Anonyme a dit…

Près de 12 ans plus tard, voici le courriel que j’adressais au premier ministre François Legault en date du 23 mai 2021 afin d’obtenir enfin justice face à cet homme sans scrupule qu’est l’ex-premier ministre Jean Charest.

Monsieur le premier ministre,

Pour faire suite à mon dernier courriel, je crois que je vous dois d’autres précisions concernant ma croyance à l’effet que l’ex-premier ministre Jean Charest soit derrière le geste d’incurie grave de la juge Sophie Bourque. Et ce, afin que vous ne soyez pas enclin de croire que je fabule ou ai une fausse impression de cet homme politique.

Non seulement il a influencé la décision de la juge Bourque mais il est aussi derrière les jugements sévères et inappropriés à mon endroit de son ami le juge Mongeau de 2009 (54 mois de prison) et de son autre ami, le juge Champagne de 2010 (5 ans de prison) et voici pourquoi:

On sait que l’ex-premier ministre a aussi beaucoup d’amis parmi les ingénieurs lesquels contribuent largement à la caisse du parti libéral en retour de services pas souvent très réguliers et conventionnels. Or, le litige que j’ai eu en 2006 est qu’un ingénieur que j’avais mandaté de bonne foi en 2003, m’a accusé faussement au criminel de l’avoir menacé tout simplement parce que j’avais porté plainte contre lui à son comité de discipline pour une panoplie de dérogations à son code de déontologie. Et il a voulu ainsi se venger.

L’ordre des ingénieurs, dont son président et autre ami de M. Charest, le ténébreux monsieur Zaki Ghavitian, au lieu de sévir contre son ingénieur fautif sur toute la ligne, l’a vraisemblablement encouragé à porter une plainte criminelle à mon endroit pour renverser le processus. Car 3 ans plus tard, et pour se couvrir de sa propre incurie grave, il me portait atteinte sévère en m’accusant faussement à son tour de l’avoir menacé de mort et d’avoir harcelé l’O.I.Q.

On sait par la suite que le juge Richard Mongeau a couvert ce sombre personnage mais également M. Charest manifestement derrière lui car il n’a pas permis qu’il vienne témoigner pour justifier ces fameuses menaces de mort à son endroit.

(Suite sur commentaire 2)


Anonyme a dit…

...suite du commentaire 1

Rajoutez à cela le fait que j’ai écorché vivement M. Charest a l’intérieur de 3 articles pas très encenseurs sur ce dernier mais mérités sur mon site « acharnement judiciaire » et qui l’inculpaient fortement. Mes opinions sur la commission Johnson qui le savonnent et savonnent également l’O.I.Q. viennent rajouter à la haine qu’il entretenait envers moi de concert avec M. Ghavitian. De plus, j’ai demandé de témoigner à la commission Bastarache afin qu’il s’explique sur la nomination très partisane de l’ex-procureure de la couronne, Me Louise Leduc, à titre de juge de la cour du Québec. Son autre ami, le juge Michel Bastarache l’a sûrement informé de mon invitation car il l’a déclinée sèchement en me faisant savoir par lettre, très courte, que la commission consistait uniquement aux allégations de Me Marc Bellemare concernant les nominations partisanes de M. Charest.

Me Leduc est cette procureure qui a représenté la couronne dans mon procès de 2006 présidé par la juge Sophie Bourque, et elle a été vraiment horrible et incompétente. C’est en la nommant juge que M. Charest l’a récompensé ainsi pour ses loyaux services envers lui-même et ma demande à la commission Bastarache visait à dénoncer cette mascarade.

M. Charest a donc senti la soupe chaude et aurait influencé les juges Mongeau et Champagne pour qu’ils fassent leur sale boulot et m’écartent de son chemin pour plusieurs années.

Voilà en ce qui concerne l’ex-premier ministre que vous ne devriez pas protéger en choisissant de ne rien faire dans mon dossier, à votre tour. J’espère simplement que cela ne sera pas le cas et que vous allez intervenir.

Dans l’intervalle de votre réponse, veuillez agréer, Monsieur le premier ministre, mes plus respectueuses salutations.

Daniel Bédard

Anonyme a dit…

Pour tous ceux et celles qui veulent m’écrire, vous pouvez le faire à ma nouvelle adresse courriel qui est la suivante:
dradeb088@outlook.fr

Merci de participer ainsi à l’assainissement de notre justice !

Daniel Bédard

Anonyme a dit…

Courriel daté du 2 juin 2021 transmis au premier ministre Legault et ayant comme objet: L’héritage politique de l’ex-premier ministre Jean Charest.

Monsieur le premier ministre,

Le présent courriel complète mon courriel du 23 mai dernier et établit un rapport au fait que mon dossier en soit un réellement politique et non de nature privée comme l’a écrit Madame Véronique Fournier du bureau de la qualité des services du ministère de la justice du Québec dans sa réponse manifestement stéréotypée du 25 mai dernier.

En effet, et déjà en 2007, après avoir passé 3 mois à la prison de Bordeaux en 2005 et 7 mois à l’institut Philippe Pinel en 2006 pour rien, je décidais de confier mon dossier pour examen à M. Éric Laporte, député adéquiste de ma circonscription parce que j’y voyais déjà une sorte d’ingérence politique indue de la part de l’ex-ministre de la justice et ex-ministre de la sécurité publique, M. Jacques P. Dupuis ou de M. Jean Charest lui-même.

M. Laporte m’a accueilli poliment dans son bureau et en présence de son attachée politique, il a écouté attentivement mes doléances. 2 semaines plus tard, M. Laporte a décidé d’écrire une lettre à M. Dupuis au nom de l’Assemblée nationale qui lui demandait des explications concernant les « affaires Rayle, Coupal et Bourque » à cause de décisions particulièrement controversées dans mon dossier judiciaire. Ces « affaires » pouvant être lues sur mon site « acharnement judiciaire ».

M. Dupuis n’a jamais répondu à la lettre de M. Laporte. Ce dernier lui a donné un mois pour y répondre. M. Laporte a décidé ensuite de fermer le dossier sans m’apporter d’autres explications ce qui me fait croire que M. Charest et son acolyte de longue date, M. Dupuis, avaient des choses à se reprocher dans mon dossier et ne voulaient pas pour la poursuite de leur carrière respective que tout cela soit rendu public.

Tout cela pour vous dire que M. Charest s’était déjà mouillé en 2005 en s’ingérant dans la décision de la juge Rayle de la cour d’appel et il a fait de même pour la juge Coupal de la cour du Québec et enfin de la juge Bourque en 2006. Mon courriel du 23 mai vous explique enfin que j’ai tiré mes inférences à l’effet que l’ex-premier ministre s’est ingéré par la suite dans les décisions du juge Mongeau en 2009 et Champagne en 2010.

Le portrait est maintenant complété et je vous demande humblement d’intervenir dans mon dossier afin que justice me soit enfin rendue 11 ans après ma dernière condamnation qui a fait de moi, ni plus ni moins, un prisonnier politique.

M.Charest a laissé tout un héritage dans son système de justice en incitant ses juges à agir comme lui c’est-à-dire sournoisement et en criminel. J’ose espérer maintenant que vous n’êtes pas de son acabit et que vous gouvernez le Québec comme il se doit c’est-à-dire sans toute forme d’ingérence.

Dans l’intervalle de votre réponse, veuillez agréer, Monsieur le premier ministre, mes plus respectueuses salutations.

Daniel Bédard

Anonyme a dit…

Courriel du 23 juin 2021 en rappel à mon courriel du 23 mai 2021 adressé au premier ministre Legault et ayant comme objet: L’implication de l’ex-premier ministre Jean Charest dans l’incurie-rappel.

Monsieur le premier ministre,

Le 23 mai dernier, soit il y a exactement un mois, je vous transmettais un courriel qui expliquait ma croyance à l’effet que l’ex-premier ministre Jean Charest s’était ingéré indûment dans mon dossier judiciaire pour en faire une bombe politique et vous demandais d’intervenir afin de me rendre justice 11 ans plus tard.

Je crois que les inférences étalées dans ce courriel sont suffisantes pour constituer des preuves solides à l’effet que M. Charest a vraiment exercé de l’abus de pouvoir.

En votre qualité de premier ministre du Québec, je crois qu’il vous revient de réparer les erreurs du passé de votre prédécesseur car mon dossier n’est plus un dossier de nature privée mais bien un dossier politique qui tombe sous votre gouverne et responsabilité.

Dans l’intervalle de votre réponse favorable ou non, je vous prie d’agréer, monsieur le premier ministre, mes plus respectueuses salutations.

Daniel Bédard

Anonyme a dit…

Courriel daté du 25 juillet adressé au premier ministre M. François Legault et ayant comme objet: Dédommagement exemplaire-Gestes d’incurie graves commis par la juge Sophie Bourque et l’ex-premier ministre Jean Charest.

Monsieur le premier ministre,

En vertu de la même règle de droit énoncée dans mon courriel du 18 juillet adressé au ministre de la justice et dont vous avez reçu copie conforme et parce que votre cabinet a agi par inhibition en ne répondant à aucun de mes courriels à ce jour, je prends pour acquis qu’à
l’instar du ministre de la justice, vous avez admis le geste d’incurie grave commis par la juge Sophie Bourque le 21 juin 2006 mais également le trafic d’influences qu’a exercé l’ex-premier ministre Jean Charest auprès de cette juge et autres juges des différents tribunaux et s’échelonnant de 2005 à 2010.

Je vous rappelle que j’ai des droits qui me sont garantis par la charte et au cas où le gouvernement verserait encore dans l’inaction, je lui réponds qu’il ne lui sert à rien de se camper dans le déni de justice alors que toutes les preuves ont été démontrées dans mes courriels et sites internet.

Afin de favoriser un règlement hors-cour, certaines dispositions sont prévues au nouveau code de procédure civile. Je vous invite donc à le référer à votre cabinet afin que le tout se fasse civilement.

Dans l’intervalle, je vous prie d’agréer, Monsieur le premier ministre, mes plus sincères salutations.

Daniel Bédard

Anonyme a dit…

Courriel transmis en date du 8 août 2021 au premier ministre François Legault

Objet: Enquête « Mâchurer »

Monsieur le premier ministre,

Sur le site de l’UPAC, il est mentionné: Lutter contre la corruption pour un système public intègre: Les pratiques de corruption, de collusion et de malversation sont inacceptables et elles ne sont pas tolérées au Québec.

Or, il est très curieux de constater que votre cabinet et vous-même m’avez ignoré quand, à travers mes courriels, je vous ai fait part, inférences à l’appui, que l’ex-premier ministre Jean Charest, a exercé, à mon encontre, du trafic d’influence auprès de certains de ses juges en échange, selon toute vraisemblance, d’importantes contributions pour le parti libéral du Québec de la part de l’ordre des ingénieurs du Québec en particulier.

Pourtant, M. Charest n’est pas au-dessus de tout soupçon. De plus, il est déjà sous la mire de l’UPAC sous enquête « Mâchurer » comme tout le monde le sait maintenant. Ce dernier poursuit même le gouvernement pour un million pour atteinte à sa vie privée. Le rabrouer aurait été simplement de mise par le gouvernement. En tant que premier ministre, vous tolérez donc des manœuvres qui sont inacceptables de la part de certains juges et d’un ex-premier ministre: ce qui est doublement inacceptable.

Par la présente, je vous prie de vous corriger au nom de tous les citoyens et citoyennes du Québec et de transmettre un mandat clair à l’UPAC d’enquêter sur mes allégations de trafic d’influence par M. Charest et de corruption de juges par l’ordre des ingénieurs du Québec. Puisque faut-il qu’elle ait été créée pour quelque chose cette unité et maintenue sous votre gouvernement.

Dans l’intervalle de votre confirmation, veuillez recevoir, Monsieur le premier ministre, mes plus respectueuses salutations.

Daniel Bédard

Anonyme a dit…

Courriel transmis en date du 11 août à Madame Duperré du Bureau de la qualité des services du ministère de la justice du Québec.
Objet: Enquête « Mâchurer »

Madame Duperré,

J’accuse réception de votre courriel du 9 août en réponse au mien du 8 août dernier.

Le premier ministre Legault a « hâte que ça aboutisse » en parlant de l’enquête « Mâchurer ». C’est du moins ce qu’il a affirmé dans un article du Devoir de 2020.

Quant à moi, je considère avoir fait mes devoirs de bon citoyen en dénonçant cette corruption à travers mes différents courriels que j’ai acheminés au ministre de la justice et au premier ministre depuis le 8 mai dernier.

Vous me référez maintenant au ministère de la sécurité publique parce que l’UPAC qui chapeaute l’enquête « Mâchurer » relève de ce ministère. Mais pourquoi le cabinet du premier ministre, au lieu de m’ignorer, n’a-t-il pas fait l’effort de me référer lui-même avant au ministère de la sécurité publique ? Alors que toutes mes démarches seraient à refaire avec un nouveau ministère ?

Pour un premier ministre qui a « hâte que ça aboutisse » je perçois mal cette envie dans son comportement actuel. Puisqu’il ne fait rien et commande plutôt, selon toute vraisemblance, à son cabinet de ne rien faire.

Par conséquent, et afin que cela ait plus de poids dans la balance, pourrait-il se reprendre et demander lui-même à l’UPAC de faire enquête sur mes allégations de trafic d’influence et incitation à la corruption de juges par l’ex-premier ministre Jean Charest. Puisque n’a-t-on pas découvert « de nouvelles choses en cours de route » comme l’a dit François Doré, ancien enquêteur à la Sûreté du Québec, dans ce même article du Devoir.

Dans l’attente de votre suivi, veuillez accepter, Madame Duperré, mes plus sincères salutations.

Daniel Bédard

Anonyme a dit…

Courriel du 13 août adressé au premier ministre Legault.

Objet: Enquête « Mâchurer »

Monsieur le premier ministre,

Après m’avoir référé au ministère de la sécurité publique dans sa réponse du 9 août, Madame Duperré me réfère maintenant à vous-même dans sa réponse du 13 août à mon courriel du 11 août.

C’est donc dire qu’autant que moi-même, elle souhaite une réponse par vous-même à mes questionnements.

Par conséquent, pourriez-vous me dire si oui ou non, vous allez demander à l’UPAC de faire enquête sur mes allégations très graves de trafic d’influence et incitation à la corruption de juges par l’ex-premier ministre Jean Charest.

Vous remerciant d’avance pour votre obligeance, veuillez accepter, Monsieur le premier ministre, mes plus respectueuses salutations.

Daniel Bédard

Anonyme a dit…

Même si pour son avenir, le souhait de M. Charest est de briguer la direction du PCC et si l’UPAC vous croit comme je vous crois, M. Bédard, c’est plutôt la direction de la prison que M. Charest prendra.

Anonyme a dit…

Suite aux non-réponses du premier ministre Legault ou de son cabinet et aux réponses stéréotypées du Bureau de la qualité des services du ministère de la justice du Québec qui répond au nom du ministre de la justice, M. Jolin-Barrette, et ayant reçu un refus de l’Unité permanente anti-corruption (UPAC) de donner suite à ma dénonciation envers la juge Sophie Bourque et l’ex-premier ministre Jean Charest, je m’essaie de nouveau mais cette fois je m’adresse à la vice-première ministre et ministre de la sécurité publique, Madame Geneviève Guilbeault dans un courriel daté du 18 octobre 2021:

Objet: Que se passe-t-il avec l’UPAC ?

Madame la ministre,

Pendant que les sondages vous sont favorables quant à la bonne opinion que les gens ont de vous et cela m’incluant, j’aimerais cependant que vous me fassiez part de ce qui se passe avec l’UPAC qui est, à moins que je ne m’abuse, sous la juridiction de votre ministère ?

Est-ce que l’UPAC est un organisme qui lutte contre la corruption et la collusion du système public québécois ou est-ce le contraire et encourage-t-il la malversation aux frais des contribuables ainsi doublement floués ?

En effet, c’est avec courage et détermination que j’ai déposé le 12 août dernier, ma dénonciation à l’endroit de la juge Sophie Bourque de la cour supérieure et de l’ex-premier ministre Jean Charest que j’accuse de traffic d’influences et d’incitation à la corruption de juges. Par ailleurs, toute la preuve de ce que j’allègue a été déposée à l’UPAC.

Or, le 10 septembre dernier, le central de l’UPAC et non son commissaire m’a transmis par courriel un avis de fermeture très court et ne comportant aucun motif et qui se lit ainsi:

Monsieur,

A la suite de l’analyse que nous avons faites de votre dénonciation, nous devons vous informer qu’il nous est impossible de donner suite à celle-ci.

Par ailleurs, vous pouvez soumettre une demande d’accès à l’information selon la procédure indiquée sur notre site internet (www.upac.gouv.qc.ca)

Veuillez recevoir, Monsieur, l’expression de nos sentiments distingués.

Central des dénonciations d’actes répréhensibles

Dans 2 courriels datés du 12 et 15 septembre 2021, j’ai demandé au commissaire Frédérick Gaudreau qu’il me fournisse ses motifs de son avis de fermeture.

A défaut d’avoir reçu ses motifs et comprenant qu’il avait aucune raison de fermer mon dossier de dénonciation, je lui ai soumis un courriel datant du 23 septembre ayant comme objet: Avis de réouverture-mise en accusation à l’égard duquel je n’ai reçu, encore une fois, aucune réponse.

Considérant qu’un commissaire a l’obligation morale de répondre aux courriels qu’un honnête dénonciateur lui transmet de bonne foi et qu’il y va de sa loyauté même envers le Public, j’ai déposé une plainte à l’égard du commissaire à l’UPAC le 7 octobre dernier.

Dans un courriel daté du 13 octobre, le secrétariat général de l’UPAC accuse réception de mon courriel et me répond qu’il s’engage à traiter ma plainte dans les 25 jours ouvrables et à me transmettre une réponse écrite.

Or, mes questions sont les suivantes: Est-ce qu’il faut passer obligatoirement par un processus de plaintes pour avoir des réponses du commissaire et est-ce que le commissaire Gaudreau lui-même est toujours l’homme de la situation ?

Dans l’intervalle de votre réponse, que je souhaite dans les plus brefs délais, veuillez agréer, Madame la ministre, mes plus respectueuses salutations.

Daniel Bédard

Anonyme a dit…

Courriel du 25 octobre 2021 transmis à la ministre de la sécurité publique en copie conforme au premier ministre.

Objet: Brandir le livre « PLQ inc. » n’est pas suffisant !

Madame la ministre,

Pourquoi d’un côté le premier ministre ou vous-même avez sommé, selon toute vraisemblance, l’UPAC de fermer mon dossier de dénonciation à l’endroit de la juge Sophie Bourque et de l’ex-premier ministre Jean Charest si de l’autre, vous brandissez le livre « PLQ inc » pour vous défendre des attaques de l’opposition à l’Assemblée nationale ?

N’est-ce pas plus facile de laisser à l’UPAC faire son travail d’enquête et non de fermer les dossiers de dénonciation sans raison pour laisser croire ainsi à une certaine duplicité de votre part ou de celle du premier ministre ?

Je vous pose respectueusement la question étant donné qu’elle n’a pas été posée, jeudi dernier, lors des débats et de la période des questions.

Dans l’intervalle de votre réponse, veuillez accepter, Madame la ministre, mes plus respectueuses salutations.

Daniel Bédard

Anonyme a dit…

Courriel du 28 octobre 2021 adressé à la ministre de la sécurité publique en copie conforme au premier ministre.

Objet: M. Charest fâché contre vous ?

Dans le journal de MTL. de ce matin, l’ex-premier ministre Jean Charest se dit fâché contre vous en vous accusant de « cautionner et légitimer des actes illégaux » en brandissant le livre PLQ inc.

Or, s’il y en un qui a cautionné des actes illégaux dans ses 9 années de pouvoir, c’est bien lui. En incitant ses juges à se faire corrompre en échange de financement illégal pour son parti, il a fait bien pire que vous.

Faire une enquête sur la juge Sophie Bourque de la cour supérieure permettrait à l’UPAC de remonter jusqu’à lui et il serait obligé de le reconnaître publiquement. A défaut, le Public continuera de croire que vous gérez mal l’UPAC. N’est-ce pas ?

Entre-temps, M. Charest continue allègrement de poursuivre le gouvernement avec l’aide de ses « amis juges » de la cour supérieure parce que le présent gouvernement ne lui a pas présenté ses excuses ! ?

Quel culot, lui qui a sapé littéralement son institution de justice !

J’espère maintenant que vous allez réagir mieux que ce que vous faites par la voie des médias et à l’Assemblée nationale.

Recevez, Madame la ministre, mes plus respectueuses salutations.

Daniel Bédard

Anonyme a dit…

Courriel du 5 novembre 2021 adressé à la ministre de la sécurité publique, madame Geneviève Guilbeault, en copie conforme au premier ministre Legault.

Objet: Vous ne pouvez autrement qu’être derrière l’UPAC !

Madame la ministre,

Dans le journal de MTL. de ce matin, j’apprends que le no. 2 de l’UPAC, M. Sylvain Baillargeon, ainsi qu’un autre policier, M. Janick Lacoursière, ont été affectés à des tâches administratives suite aux blâmes que leur a adressés la juge Nancy McKenna dans « la foulée de l’avortement du procès de l’ex-maire de Terrebonne, Jean-Marc Robitaille. »

J’apprends également que le député de Chomedey, Guy Ouellette, vous aurait demandé de déclencher une enquête criminelle sur les agissements des deux policiers. Ce que vous vous n’êtes pas engagée à faire.

Votre refus vient, par le fait même, confirmer mon courriel du 25 octobre dernier à l’effet que vous démontrez une certaine duplicité, à l’instar du premier ministre Legault, quant au fait, ainsi vérifié, que vous ne laissiez pas à l’UPAC faire son travail d’enquête, particulièrement à l’endroit de la juge Sophie Bourque et de l’ex-premier ministre, Jean Charest.

J’en conclus donc que vous couvrez ainsi des bandits en toge et à cravate dans le seul but de ne pas déplaire à M. Legault qui, pendant ce temps et loin du tumulte engendré par tout ce cirque, discute de son virage écolo avec le Prince Charles à Glasgow.

Je trouve votre attitude et celle du premier ministre déplorables et elle n’est pas à la hauteur de l’opinion favorable que je m’étais fait de vous-même ainsi que du premier ministre avant mes communications par courriels. Courriels à l’égard desquels vous n’avez, à l’instar de M. Legault, formulé aucune réponse.

Ce qui est un manque total de respect envers mon honnête personne aussi bien qu’envers l’exercice de mes droits les plus fondamentaux.

Recevez, Madame la ministre, mes salutations distinguées.

Daniel Bédard

Anonyme a dit…

Courriel du 10 novembre 2021 adressé au commissaire Frédérick Gaudreau de l’UPAC en copie conforme à la ministre Guilbault.

Objet: Enquête Mâchurer ?

Monsieur le commissaire,

Dans le journal de MTL. de ce matin, vous affirmez que l’enquête Mâchurer se poursuit.

Mais pourquoi avoir fermé mon dossier de dénonciation sur l’ex-premier ministre Jean Charest que j’accuse de trafic d’influence et d’incitation à la corruption de juges en échange de financement de son parti ?

N’ai-je pas là un élément nouveau qui pourrait aider l’UPAC à parfaire son dossier d’enquête sur M. Charest ?

Par ailleurs, enquêter l’Ordre des ingénieurs du Québec serait une chose à faire, il me semble, pour confirmer l’entité corporative qui corrompt les juges et finance illégalement le parti libéral.

Dans le même article, la ministre Guilbault affirme en parlant de l’UPAC: « Je pense qu’il va falloir à un moment donné que ça évolue ».

Et moi, je vous laisse l’opportunité que l’enquête Mâchurer évolue et au lieu, vous fermez mon dossier de dénonciation.

C’est à n’y rien comprendre et je demande une réflexion de votre part si vous voulez toujours « aller au front ».

Dans l’intervalle, recevez, Monsieur le commissaire, mes salutations distinguées.

Daniel Bédard

Anonyme a dit…

Pour comprendre comment Jean Charest a incité la juge Sophie Bourque de la cour supérieure à se faire corrompre par l’Ordre des ingénieurs du Québec, je vous invite, chers internautes avertis à taper: « juge Sophie Bourque » et à cliquer ensuite sur « acharnement judiciaire ». Lire l’article et les commentaires s’y rattachant. Lire aussi « L’affaire Bourque » du menu de droite.

Bonne lecture !

Daniel Bédard

Anonyme a dit…

Voici la réponse, en date du 17 novembre 2021, du commissaire Frédérick Gaudreau de l’UPAC à ma plainte du 7 octobre 2021 adressée à son endroit.

Monsieur,

En vertu de l’article 29 de la Loi concernant la lutte contre la corruption qui stipule que: « À la suite de l’analyse de la dénonciation, le commissaire peut refuser d’y donner suite s’il estime que celle-ci est frivole ou qu’elle ne relève pas de sa mission. Dans ce cas, il en informe la personne qui a effectué la dénonciation » et après analyse des éléments que vous nous avez fait parvenir, le Commissaire à la lutte contre la corruption ne peut donner suite à votre plainte concernant la décision de fermeture de votre dénonciation. Après vérification, il appert que les procédures ont été respectées.

Cordialement,

La responsable des plaintes à l’égard des services reçus
Unité permanente anticorruption

Anonyme a dit…

Courriel du 17 novembre 2021 adressé au commissaire de l’UPAC, Monsieur Frédérick Gaudreau.

Monsieur le commissaire,

J’accuse réception, en date d’aujourd’hui, de votre réponse à l’égard de ma plainte formulée à votre endroit en date du 7 octobre 2021.

D’emblée, je me permets de qualifier que votre réponse, encore une fois très courte et qui ne m’informe de quelque motif que ce soit, va à l’encontre des principes mêmes de démocratie.

En effet, vous m’affirmez que le Commissaire, donc vous-même, « ne peut donner suite à ma plainte » alors que vous vous identifiez à la fin de votre courriel comme étant « La responsable des plaintes à l’égard des services reçus »

Donc, cette responsable est nul autre que vous-même, n’est-ce pas ?

Or, comment pouvez-vous disposer vous-même d’une plainte à votre égard ?

En conclusion, vous m’affirmez qu’ « Après vérification, il appert que les procédures ont été respectées. » Mais quelles ont été ces procédures ? Et de quel respect parlez-vous ? Et quelles ont été ces vérifications ?

Votre courriel ne m’apprend même pas si l’UPAC a enquêté sur l’ « Affaire Bourque ». Enquête qui, je le répète, prend une heure à faire et n’est donc pas un « éléphant dans la pièce ».

Par ailleurs, en quoi ma dénonciation est-elle frivole ou ne rencontre pas la Mission de l’UPAC ? Toutes des questions qui n’ont nullement fait l’objet de réponses de votre part.

Pour ces raisons, je demande l’intervention urgente de la ministre qui ne peut autrement, dans ces circonstances, qu’être responsable d’une plainte vous étant adressée.

Recevez mes salutations distinguées.

Daniel Bédard

Anonyme a dit…

Courriel du 11 décembre 2021 transmis au commissaire de l’UPAC, M. Frédérick Gaudreau

Objet: Les dessous de l’enquête Mâchurer ?

Monsieur le commissaire,

Suite à votre fermeture étonnante, le 10 septembre dernier, de ma dénonciation à l’égard de la juge Sophie Bourque et de l’ex-premier ministre, Jean Charest, vous me laissez tirer les inférences suivantes:

1) L’enquête Mâchurer n’est, en réalité, qu’une diversion pour laisser croire au Public que vous faites un certain travail « consciencieux ».
2) Vous n’avez jamais eu l’intention d’incriminer l’ex-premier ministre, Jean Charest. Et la stagnation du dossier depuis plusieurs années le démontre en surplus.
3) Malgré un devoir de rectitude qui englobe votre Mission de lutte contre la corruption, vous n’avez pas l’intention à l’UPAC de toucher au judiciaire.

Ainsi, votre plus « grosse prise » de bandit à cravate pourrait s’en tirer sans même avoir à se défendre des allégations très graves pourtant qui pèsent contre lui et dont vous avez déjà toute la preuve en main. Il pourrait même soutirer quelque 2 millions de dollars à l’État si un « ami juge » de la cour supérieure lui donne raison et nous signifie que sa réputation a été entachée.

J’appelle cela de l’aveuglément volontaire.

Quant à la juge Sophie Bourque, et malgré son parcours des plus tortueux, celle-ci pourrait se voir offrir prochainement une promotion à la cour suprême du Canada en compagnie de son ami, le juge en chef Richard Wagner. Cet ex-juge de la cour supérieure qui est intervenu frauduleusement dans mon dossier en 2005.

Voilà comment 22 millions de dollars des contribuables sont dépensés à chaque année à l’UPAC pour mettre de la brume dans nos lunettes et faire, en réalité, le contraire de ce que le Public attend de vous: soit arrêter les vrais bandits. Et non leur permettre une carrière des plus florissante en couvrant leur méfait.

Nous sommes donc doublement floués par l’UPAC.

Bravo, Monsieur le commissaire pour votre exemplaire contribution.

Recevez mes salutations distinguées.

Daniel Bédard

Anonyme a dit…

Pour en savoir plus long sur l’ « Affaire Bourque » tapez « juge Sophie Bourque-infraction criminelle » Merci !

Anonyme a dit…

Tapez finalement: « Comment doit se sentir la juge Sophie Bourque » pour en savoir plus long sur l’ « Affaire Bourque ». Merci !